Actualités

Les lois de l’énergétique (2)

Après avoir abordé le monde des nombres réels positifs, regardons maintenant ce qui se passe quand on se rapproche du « non-être », de l’absence de vie.

Zéro, symbole universel

Pour quantifier une quantité absente (ce qui déjà présente un paradoxe), il a fallu inventer un symbole, le zéro, qui est devenu universel tout en ayant, a priori, selon les découvertes les plus récentes, son origine en Inde. Même s’il est possible que des hommes l’aient conceptualisé préalablement, ce n’est qu’au moment où le symbole a pu être écrit, et donc laisser une trace, que l’on sait aujourd’hui qu’il a une certaine antériorité dans nos civilisations. D’Inde, il fut ensuite diffusé, partout y compris en Chine. Le symbole universel du zéro, « 0 », est à l’origine écrit en sanscrit comme un simple point (.)

Les multiples significations de zéro

En chinois, zéro se dit ling et s’écrit 零. Il a de multiples sens, ce qui reste, se flétrir, se faner, néant, nul, rien. Tous ces mots ont des sens différents dans notre langue mais, chez nous aussi, la définition n’en est pas simple. Celle-ci a évolué au cours du temps et, étant à la frontière des nombres positifs et négatifs, on lui attribua l’une ou l’autre qualité, voire même les deux, ou aucune ! On voit bien là la difficulté à définir un élément à double polarité, double potentialité.

La double potentialité des points Jing

Nous le connaissons bien en médecine chinoise dans laquelle les points Jing, au bout des doigts, sont dans cet état de double potentialité, ce moment durant lequel l’une s’annule pour basculer vers l’autre comme la marée haute à l’étale, qui va repartir vers la marée basse. Nous le reconnaissons également dans ces moments de vie où la maladie l’emporte petit à petit et où l’énergie du patient tend vers ce zéro de manière réversible ou non.
À suivre… ou non.

Abonnez-vous à notre newsletter

Pour ne rien manquer des actualités de notre école et en savoir plus sur la MTC.