Dominique CanongeQuand il rentre à Paris à la fin des années 1920, George Soulié de Morant, sinologue et diplomate en poste à Shanghai, a, dans ses bagages, les notes et les observations amassées durant plusieurs années sur la MTC. Il espère faire découvrir ou redécouvrir cette médecine ancestrale aux Occidentaux.
Quelques médecins comme le Dr Berlioz (le père du compositeur) avaient, dès le XVIIe siècle, écrit des ouvrages se rapportant à l’acupuncture, mais sans succès.
G. Soulié de Morant n’en aura guère plus auprès du corps médical, malgré l’ouverture d’un service d’acupuncture à l’hôpital Bichat en 1932 et une excellente réputation en tant que praticien.
Il décédera en 1955 en laissant de nombreux ouvrages consacrés à l’acupuncture, à l’art chinois, à l’histoire mais aussi plusieurs romans.
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